Programmes de Développement et de Modernisation des Itinéraires(PDMI) pour la période 2009 à 2014

Développement et modernisation des itinéraires - Programmes de Développement et de Modernisation des Itinéraires(PDMI)

 

 

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Par décision du Comité Interministériel d’Aménagement et de Compétitivité des Territoires (CIACT) du 6 mars 2006, les routes ne font plus partie du Contrat de Projet État-Régions (CPER) 2007-2013. Cependant, les projets déjà inscrits dans le CER 2000-2006 seront menés à leur terme.


Dorénavant, les nouveaux projets d’investissement sur les routes nationales sont inscrits dans des Programmes de Développement et de Modernisation des Itinéraires(PDMI) pour la période 2009 à 2014, dont les négociations sont en cours.

 
    projets relevant des PDMI :


        périphérique nantais
 

 

Les PDMI succèdent aux anciens contrats de plan État-régions (CPER)

 

 

 

Ces programmes recouvrent l’ensemble des opérations de modernisation du réseau routier non concédé existant sans pour autant créer de nouvelles fonctionnalités et sans augmenter substantiellement la capacité du réseau. Ils seront établis pour la période 2009 - 2014 en tenant compte des nouvelles orientations qui se sont dégagées du Grenelle de l’environnement

 

Ils traduisent ainsi le schéma national des infrastructures de transport institué par la loi du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement. Ce schéma fixe les orientations de l’État en matière d’entretien, de modernisation et de développement des réseaux, de réduction des impacts environnementaux et de la consommation des espaces agricoles et naturels, et en matière d’aides apportées aux collectivités territoriales pour le développement de leurs propres réseaux. .

 

Dans ce cadre, les nouvelles priorités en matière de modernisation du réseau routier consistent à :

- améliorer la qualité environnementale des infrastructures et le cadre de vie des riverains (traitements anti-bruit, mise aux normes assainissement, déviations localisées) ;

-  optimiser leur fonctionnement en améliorant la fiabilité des temps de parcours pour les usagers (avec des mesures d’exploitation dynamique ou des créneaux de dépassement par exemple), les services proposés (aire de service ou de poids lourds par exemple) et la sécurité routière ainsi qu’en renforçant l’accessibilité des territoires.

L’optimisation des routes existantes par des aménagements localisés est privilégiée à des augmentations importantes de la capacité ou à la création de nouvelles fonctionnalités.