COLLECTIF ANTI BRUIT |
Collectif regroupant des citoyens, associations et copropriétés riverains du Boulevard alexandre Flemming à Nantes, RN844, voie classée catégorie 1, entre les Portes de la Chapelle et de la Beaujoire ayant pour objectif : - La Lutte contre le bruit du périphérique Nantais, du Tram Tain Nantes-Chateaubriand et du Tramway - connexion des lignes 1 et 2 du tramway qui reliera Haluchère et Facultés via Ranzay et Babinière.
|
A l'horizon 2030, si les tendances démographiques se maintenaient, l'aire urbaine de Nantes compterait un peu plus d'un million d'habitants. C'est ce que vient de révéler une étude de l'Insee. La population augmenterait d'environ 190 000 habitants, soit environ 7600 habitants supplémentaires chaque année. La croissance nantaise serait ainsi la troisième plus forte de France, derrière Toulouse et Rennes. Ce dynamisme démographique reposerait essentiellement sur le solde naturel (fécondité élevée). L'emménagement de nouveaux habitants pèserait également, en particulier ceux en provenance d'Ile-de-France (110 000 arrivées envisagées!).
Aider les familles à se loger
« Cette attractivité s'explique en partie par l'effet littoral et qualité de vie, analyse Thierry Violland, directeur de l'agence d'études urbaines de la région nantaise (Auran). C'est la preuve aussi que le réveil économique de Nantes a essaimé à l'échelle de toute la métropole. C'est également le signe de l'allongement de la durée de vie, qui pose la question de la place des seniors et de la dépendance. » A y regarder de plus près, la population de la communauté urbaine de Nantes ne progresserait d'ici 2030 que de 13 %, contre 44 % pour la deuxième et troisième couronne. Une différence qui s'explique par le nombre de départs depuis le cœur de l'agglo vers la périphérie. « Il faudra une politique volontariste pour que les familles puissent continuer à se loger au plus près de la ville-centre. L'important est de maintenir un équilibre », juge l'Auran. F.B.